On écrit ce que l'on veut en atelier

Publié le par Les Machines

Je n’ai jamais envie d’écrire, j’ai horreur des plumes des stylos, du papier, l’idée même de m’installer sur un coin de table ou de bureau m’exaspère, je n’arrive pas à imaginer que des gens éprouvent le besoin d’écrire, écrire à qui ? Pour qui et pourquoi ?

Cela n’a aucun  sens pour moi ;

Certains éprouvent une sorte de délivrance, un bonheur «  le bonheur d’écrire », moi non, écrire pour moi est une contrainte, une intense douleur.

Rien ne me fait rêver dans l’écriture, je préfère le sport à haut risque, la vitesse, les courses automobiles, les matchs de foot, au moins là je n’ai pas l’impression de perdre mon temps, c’est une vie intense, forte qui me remplit de bonheur et de fortes émotions.

 

Tu veux savoir qui je serais si j’étais un Roman ?

 J’ai du mal à  répondre à ta question, je ne lis pas de roman, lire c’est comme écrire pour moi, je n’ai pas de temps à perdre.

Je n’éprouve aucun plaisir à tourner des pages pendant des heures, les mots me sont étrangers, ils ne me parlent pas, ne me renvoient rien, il n’y a que l’action intense qui m’intéresse.

Je n’ai pas besoin de savoir où je vais, je n’ai pas besoin  d’écrire non plus, je n’ai besoin de rien.. .

rose-marie Cuevas novemebre 2011

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